From 1 - 10 / 69
  • Occupation des sols 2021 du bassin versant du site de Naizin dans le Morbihan dans le cadre de l'Observatoire de Recherche en Environnement (ORE) AgrHyS d'INRAE. Le parcellaire est issu du cadastre de 2013. Les dessertes ont été redessinées à partir des orthophotos IGN de 2013 et le parcellaire a été découpé en fonction d’une zone tampon autour de ces dessertes. Les parcelles 2013 peuvent être découpées mais jamais regroupées. Toutes les entités géographiques élémentaires ont un identifiant unique sur l’ensemble des années. Champs de la table d’attribut : • ID_2021 : identifiant de la parcelle pour l’année 2021 • TYPE_21 : code principal de l’occupation des sols • S_TYPE_21 : code secondaire de l’occupation des sols • SURF_PARCE : la surface de la parcelle en hectare (ha) • ID_PARCEL : Identifiant numérique et non significatif par parcelle du RPG 2021 • CODE_GROUP : code du groupe de cultures du RPG 2021 • CODE_CULTU : code du groupe de cultures majoritaire du RPG 2021 • Culture_D1 : code de la culture dérobée (culture intercalée entre 2 moissons de culture principale) sur la parcelle. • Culture_D2 : code de la seconde culture dérobée (culture intercalée entre 2 moissons de culture principale). La nomenclature de ces codes des types et sous-types a été définie dans le programme ANR-12-AGRO-0005 MOSAIC : https://anr.fr/Projet-ANR-12-AGRO-0005. Leurs descriptions peuvent être télécharger ici : https://geosas.fr/metadata/ore/xls/legendes_osol_naizin.xlsx. Les occupations des sols sont issues des données par parcelles du Registre Parcellaire Graphique (RPG) de l’année 2021 et les relevés de terrain réalisées sur deux dates différentes. Les limites des parcelles ont été mises en concordance avec le parcellaire de 2013.

  • Lors de la création du CEVA en 1982 (anciennement CERAA), une enquête par questionnaire a été adressée par voie postale à des communes littorales des 4 départements, dont l’objectif était de collecter des informations sur le phénomène d’intensification de la présence d’algues vertes au cours des dernières années. Le questionnaire aborde les constatations d’échouage sur le littoral communal et les ramassages éventuellement entrepris : volume, type d’algue, coûts engendrés, moyens de ramassage et destination des algues. Aujourd’hui, les courriers sont adressés électroniquement aux communes et un questionnaire en ligne a été mis en place en 2019. Une base de données a été créée et mise à jour chaque année depuis 1997 avec les volumes d’algues vertes ramassées (m3/an) signalés par les communes. Cette couche géographique est tirée de cette base de donnée.

  • Les barrages sont à l’origine de modifications significatives du régime hydrologique, de la température de l’eau et des flux biologiques et biogéochimiques. C’est le cas des barrages de Vezins et de la Roche qui Boit, présents sur le cours principal de la Sélune qui ont eu pour conséquence, l'existence de deux lacs de retenue entre 1919 et 2022 pour La Roche qui Boit et entre 1932 et 2019 pour Vezins. A compter de la fin de la dernière vidange du barrage de La Roche qui Boit, fin 2022, ces deux lacs n'ont donc plus d'existence dans le paysage de la vallée. Cette couche représente les deux lacs de retenues, tel qu'ils étaient référencés en 2017, soit avant le début des travaux de démantèlement des deux barrages hydroélectriques de la Sélune. Parmi les données attibutaires associées à ces deux entités, la longueur est issue d'un calcul réalisé par l'équipe du projet Sélune sur la base du référentiel de points établis sur la totalité du bassin versant (et donc sur la totalité du cours de la Sélune) et leur connaissance des zones d'influences lacs / cours naturel.

  • Le CEVA a été chargé, de 2002 à 2006, de la mise en place puis de la réalisation du suivi du phénomène de « marées vertes » à l’échelle de la Bretagne, dans le cadre du programme Prolittoral, programme régional et interdépartemental de lutte contre les marées vertes (financement de l’Agence de l’Eau Loire Bretagne, du Conseil régional de Bretagne et des quatre Conseils généraux bretons). Dans ce cadre, le CEVA a développé des outils spécifiques pour évaluer le phénomène et son évolution. Ces outils ont été élaborés en partant de la connaissance du phénomène acquise au travers des suivis antérieurs, réalisés pour le compte du Conseil général des Côtes d’Armor, de l’Agence de l’Eau Loire Bretagne et de collectivités locales bretonnes particulièrement touchées par le phénomène. Depuis 2007, le CEVA réalise les inventaires de marées vertes du Réseau de Contrôle de Surveillance (RCS) dans le cadre de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE) pour l’évaluation des masses d’eau côtières et de transition, financée par l’Agence de l’Eau Loire Bretagne. Trois survols sont réalisés chaque année (mai, juillet, septembre) de l’ensemble du littoral (du Mont Saint Michel à l’île de Ré) faisant l’objet de l’acquisition de photographies aériennes à partir desquelles des surfaces d’échouages d’ulves sont mesurées. Pour les sites de type « sableux » classés « site à échouage d’ulves », l’estimation surfacique des échouages d’ulves en lame est réalisée pour chaque inventaire. Pour les sites de type « vaseux » marqués par un tapis continu d’algues vertes, toutes les surfaces couvertes par les algues vertes (filamenteuses ou en lames) sont estimées uniquement pour l’inventaire présentant un maximal annuel de biomasse. Cela fait suite à la mise au point des grilles de classement européennes de la DCE des masses d’eau de type « abritées » (vasières) en 2008.

  • Dans le cadre de l'observatoire Sélune ont été disposées des stations pilotes le long de la Sélune, réparties de l’amont à l’aval des barrages hydroélectriques. Trois stations se situent dans les retenues des barrages, les deux autres, dites de contrôle, sont respectivement en amont et en aval des barrages. Dans ces stations, les biocénoses aquatiques (incluant macroinvertébrés benthiques, biofilms, macrophytes...) sont suivies. Sur chacune de ces stations, les macroinvertébrés benthiques (mib) sont régulièrement échantillonnés, au printemps et à l'automne, depuis septembre 2014 et en accord avec la norme NF T 90-333. Les inventaires faunistiques obtenus après détermination peuvent ainsi servir au calcul d’indices biotiques tels que l'IBG-DCE et l'I2M2. En complément, des prélèvements sont réalisés avec des substrats artificiels immergés pendant 1 mois, afin de se focaliser sur la mesure de « l’effet des barrages ». Le protocole est décrit dans : Piscart C., Moreteau, J.C., Beisel J.N. (2006). Monitoring changes in freshwater macroinvertebrate communities along a salinity gradient using artificial substrates. Environmental Monitoring and Assessment 116: 529-542. Cette couche donne les résultats obtenus pour les indices biotiques IBG-DCE et I2M2 avec les paramètres associés (diversité, variété...), ainsi que le nombre de prélèvements réalisés (colonne "effort"). Enfin, la couche contient les sorties de l'outil diagnostic relatif aux invertébrés benthiques 'ODInvertebres', qui vise à identifier les pressions anthropiques les plus probables à l'origine des altérations de la qualité écologique (6 valeurs de probabilité pour la qualité physico-chimique de l'eau et 6 autres relatives à l'hydromorphologie ou à l’utilisation de l’espace dans le bassin versant). Référence sur 'ODInvertebres' : Mondy, C. P., & Usseglio-Polatera P. Using conditional tree forests and life history traits to assess specific risks of stream degradation under multiple pressure scenario. Science of the Total Environment 461 (2013): 750–760. Dernière mise à jour : 13/12/2023 avec les données de l'automne 2023.

  • Categories  

    We present a dataset of wood, knots and bark extractives from 4 forest species tree grown and processed in the eastern France (Quercus robur, Quercus petraea, Fagus sylvatica, Pseudotsuga menziesii).The data were extracting from an analysis of the scientific literature review (59 articles). The data concern different tissues of the tree (wood, sapwood, heartwood, knot, bark) and provides information on (i) the extraction process used, the chemical content of extracts and extractives determination (ii) the bioactivity of the extracts (iii) the metadata of the extracts. All the data is contained in the 3 export files of the Wood_db-chemistry database at a given time.

  • Le réseau RMQS repose sur le suivi de 2200 sites répartis uniformément sur le territoire français (métropole et outre-mer), selon une maille carrée de 16 km de côté. L’évaluation et le suivi de la qualité des sols sont fondés sur l’analyse de propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols, associée à la recherche des sources de contamination diffuse et à la connaissance de l’historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site. L’ensemble des prélèvements, mesures et observations réalisés sur un site est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols. La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Le RMQS couvre également les départements d'Outre-mer : après un déploiement en 2006-2007 aux Antilles, la mise en place du RMQS s’est poursuivi à la Réunion, à Mayotte et en Guyane. La première campagne RMQS, axée sur la contamination des sols, a permis de produire un ensemble de données sur les principaux paramètres pédologiques classiques ainsi que les teneurs en éléments traces (ET) et également des polluants organiques persistants. Ce jeu de données se base sur les mesures des sites pour fournir les estimations spatialisées à une résolution de 1000 m des teneurs en 9 ET (As, Cd, Cr, Cu, Hg, Pb, Ni, Th et Zn) produites à l’aide d’un algorithme géostatistique robuste. Cette page traite du Chrome.

  • Le réseau RMQS repose sur le suivi de 2200 sites répartis uniformément sur le territoire français (métropole et outre-mer), selon une maille carrée de 16 km de côté. L’évaluation et le suivi de la qualité des sols sont fondés sur l’analyse de propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols, associée à la recherche des sources de contamination diffuse et à la connaissance de l’historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site. L’ensemble des prélèvements, mesures et observations réalisés sur un site est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols. La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Le RMQS couvre également les départements d'Outre-mer : après un déploiement en 2006-2007 aux Antilles, la mise en place du RMQS s’est poursuivi à la Réunion, à Mayotte et en Guyane. La première campagne RMQS, axée sur la contamination des sols, a permis de produire un ensemble de données sur les principaux paramètres pédologiques classiques ainsi que les teneurs en éléments traces (ET) et également des polluants organiques persistants. Ce jeu de données se base sur les mesures des sites pour fournir les estimations spatialisées à une résolution de 1000 m des teneurs en 9 ET (As, Cd, Cr, Cu, Hg, Pb, Ni, Th et Zn) produites à l’aide d’un algorithme géostatistique robuste. Cette page traite du Nickel.

  • Le Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS) est un programme national d’évaluation et de suivi à long terme de la qualité des sols français. Ce réseau repose sur le suivi de 2240 sites représentatifs des sols français et de leurs occupations, répartis sur l’ensemble du territoire français (métropole et outre-mer) selon une grille systématique de 16 km de côté. Les sites recouvrent diverses occupations (grandes cultures, prairies permanentes, forêts, vignes et vergers, milieux peu anthropisés, parcs urbains). Des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols sont mesurées sur chaque site avec une périodicité d’une quinzaine d’années. Ces analyses sont associées à la recherche des facteurs explicatifs de la variabilité spatiale et temporelle des propriétés des sols (variables biophysiques, sources de contamination, historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site). La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Cette campagne, axée sur la contamination des sols, a permis de cartographier les principaux paramètres pédologiques (28 variables) ainsi que les teneurs en 12 éléments traces métalliques (ETM) en extraction totale ou partielle et 70 polluants organiques persistants. L’ensemble des protocoles de prélèvements, mesures et observations réalisés sur chaque site durant cette campagne est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols datant de 2006. Obtention des valeurs : Les cartogrammes produits sont issus des résultats d’analyses de 2146 sites de métropole, répartis sur 2146 cellules, mis en œuvre lors de la première campagne RMQS (2000 -2009). Les analyses ont été réalisées sur des échantillons composites prélevés à la tarière selon 2 couches de prélèvements (0-30 cm ou épaisseur de la couche travaillée en sol cultivé appelée composite de surface ou composite 1 et la couche sous-jacente jusqu’à 50 cm, appelée composite de sub-surface ou composite 2). Chaque échantillon composite a été constitué à partir du mélange de 25 prélèvements individuels prélevés sur une surface d’échantillonnage de 400 m² selon un plan d’échantillonnage aléatoire stratifié (voir description dans le manuel du RMQS, 2006). Une troisième couche de prélèvement issue d’échantillons composites a pu être constituée en forêt ou en prairie, à partir des horizons holorganiques (correspondant aux horizons pédologiques OF et OH) lorsque ces horizons étaient suffisamment épais (au moins 1 cm) et continus sur la surface d’échantillonnage. Les cartogrammes sont une représentation géographique des teneurs réelles (concentration en unité de mesure par masse de sol séché à l’air) mesurées pour le paramètre cité, en chaque point du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS), lors de la première campagne (2000-2009). Les analyses de sol ont été réalisées par le Laboratoire d’Analyses des Sols de l’INRA d’Arras au fil de la campagne, de 2002 à 2011, au fur et à mesure du déploiement du réseau, et pour certains paramètres, a posteriori, sur les échantillons stockés au Conservatoire Européen des Sols. Les cartogrammes n’ont pas été constitués avec les coordonnées réelles des dispositifs de prélèvement, conformément au cadre juridique actuellement en vigueur et pour répondre à notre engagement d’anonymisation des données. Le jeu de données fournies associé à ces cartogrammes comportera les coordonnées du centre de la maille, appelées coordonnées du centroïde ou encore coordonnées théoriques. Un tableau de métadonnées associé au jeu de données (accessible via les liens ci-dessous) détaille pour chaque paramètre représenté, la méthode d’analyse, l’unité, le seuil de détection et l’incertitude analytique associée à l’analyse fournie par le LAS.

  • Le Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS) est un programme national d’évaluation et de suivi à long terme de la qualité des sols français. Ce réseau repose sur le suivi de 2240 sites représentatifs des sols français et de leurs occupations, répartis sur l’ensemble du territoire français (métropole et outre-mer) selon une grille systématique de 16 km de côté. Les sites recouvrent diverses occupations (grandes cultures, prairies permanentes, forêts, vignes et vergers, milieux peu anthropisés, parcs urbains). Des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols sont mesurées sur chaque site avec une périodicité d’une quinzaine d’années. Ces analyses sont associées à la recherche des facteurs explicatifs de la variabilité spatiale et temporelle des propriétés des sols (variables biophysiques, sources de contamination, historique de l’occupation et des pratiques de gestion de chaque site). La première campagne de prélèvement en métropole s'est déroulée de 2000 à 2009. Cette campagne, axée sur la contamination des sols, a permis de cartographier les principaux paramètres pédologiques (28 variables) ainsi que les teneurs en 12 éléments traces métalliques (ETM) en extraction totale ou partielle et 70 polluants organiques persistants. L’ensemble des protocoles de prélèvements, mesures et observations réalisés sur chaque site durant cette campagne est détaillé dans le Manuel du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols datant de 2006. Obtention des valeurs : Les cartogrammes produits sont issus des résultats d’analyses de 2146 sites de métropole, répartis sur 2146 cellules, mis en œuvre lors de la première campagne RMQS (2000 -2009). Les analyses ont été réalisées sur des échantillons composites prélevés à la tarière selon 2 couches de prélèvements (0-30 cm ou épaisseur de la couche travaillée en sol cultivé appelée composite de surface ou composite 1 et la couche sous-jacente jusqu’à 50 cm, appelée composite de sub-surface ou composite 2). Chaque échantillon composite a été constitué à partir du mélange de 25 prélèvements individuels prélevés sur une surface d’échantillonnage de 400 m² selon un plan d’échantillonnage aléatoire stratifié (voir description dans le manuel du RMQS, 2006). Une troisième couche de prélèvement issue d’échantillons composites a pu être constituée en forêt ou en prairie, à partir des horizons holorganiques (correspondant aux horizons pédologiques OF et OH) lorsque ces horizons étaient suffisamment épais (au moins 1 cm) et continus sur la surface d’échantillonnage. Les cartogrammes sont une représentation géographique des teneurs réelles (concentration en unité de mesure par masse de sol séché à l’air) mesurées pour le paramètre cité, en chaque point du Réseau de Mesures de la Qualité des Sols (RMQS), lors de la première campagne (2000-2009). Les analyses de sol ont été réalisées par le Laboratoire d’Analyses des Sols de l’INRA d’Arras au fil de la campagne, de 2002 à 2011, au fur et à mesure du déploiement du réseau, et pour certains paramètres, a posteriori, sur les échantillons stockés au Conservatoire Européen des Sols. Les cartogrammes n’ont pas été constitués avec les coordonnées réelles des dispositifs de prélèvement, conformément au cadre juridique actuellement en vigueur et pour répondre à notre engagement d’anonymisation des données. Le jeu de données fournies associé à ces cartogrammes comportera les coordonnées du centre de la maille, appelées coordonnées du centroïde ou encore coordonnées théoriques. Un tableau de métadonnées associé au jeu de données (accessible via les liens ci-dessous) détaille pour chaque paramètre représenté, la méthode d’analyse, l’unité, le seuil de détection et l’incertitude analytique associée à l’analyse fournie par le LAS.