La flore de 221 placettes réparties sur un réseau systématique dans le massif forestier d'Amance (Meurthe-et-Moselle, France) a été rééchantilonnée en 2017 après un premier inventaire floristique sur 477 placettes, réalisé en 1971 et 1972 par J. Timbal puis un second réalisé en 1990 par A. Thimonier.

Le rééchantillonnage de la flore de la forêt d'Amance après 18-19 ans mis en évidence une augmentation de la fréquence des espèces nitroclines traduisant une eutrophisation concernant principalement le pourtour de la forêt et attribuable par conséquent à la pollution atmosphérique.

La flore de 221 placettes réparties sur un réseau systématique dans le massif forestier d'Amance (Meurthe-et-Moselle, France) a été partiellement rééchantilonnée en 2017 (79 placette) après un premier inventaire floristique sur 477 placettes, réalisé en 1971 et 1972 par J. Timbal puis un second réalisé en 1990 par A. Thimonier. L'étude de 2022 a repris le réechantillonnage interrompu en 2017 du fait de la prolifération de chenilles processionnaires du chêne. Une partie des placettes de 2017 a été revisitée et une partie des 221 placettes de A. Thimonier visitées soit au total 164 placettes vues en 2022. La présente étude vise à compléter l'étude de 2022 en revisitant : 1 - les placettes de 1971 de Timbal non vues en 1990 car dans des parcelles en régénération ; 2 - les placettes vues en 2017 non revues en 2022. Le protocole notamment de caractérisation des perturbations sur les placettes est le même qu'en 2022

Etude qui a révélé i- que le groupe écologique était plus performant que l'espèce pour caractériser le milieu, et ii- que l’analyse canonique permettait de caractériser efficacement les exigences écologiques des groupes floristiques vis-à-vis du sol.

La flore de 221 placettes réparties sur un réseau systématique dans le massif forestier d'Amance (Meurthe-et-Moselle, France) a été partiellement rééchantilonnée en 2017 (79 placette) après un premier inventaire floristique sur 477 placettes, réalisé en 1971 et 1972 par J. Timbal puis un second réalisé en 1990 par A. Thimonier. La présente étude reprend en 2022 le réechantillonnage interrompu en 2017 du fait de la prolifération de chenilles processionnaires du chêne. Une partie des placettes de 2017 a été revisitée et le reste des 221 placettes de A. Thimonier visitées.