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  • Les flux hydrologiques, sédimentaires fins et grossiers, et chimiques sont fortement impactés par la présence des barrages, alors que ces paramètres jouent un rôle majeur sur la qualité des habitats pour les communautés aquatiques. leur suivi sur le long terme est primordial dans le cadre d’une opération de restauration écologique après effacement de barrages. De plus sur la Sélune, le démantèlement s’accompagne d’une gestion spécifique des sédiments pour éviter un transfert massif de sédiments vers l’aval. Le transport des sédiments grossiers est étudié à l’aide de galets marqués par des transpondeurs passifs (pit tags). Ces pit tags ont été introduits dans plusieurs centaines de galets de différentes tailles du fleuve. Leurs déplacements au cours du cycle hydrologique sont suivis à l’aide d’une antenne que l’on déplace manuellement en parcourant la rivière, à raison d’une campagne par an. Cette couche donne les localisations des secteurs d'étude utilisés dans le suivi du transport des sédiments grossiers.

  • Le cours amont de la Sélune n'est pas accessible aux poissons migrateurs du fait des deux barrages hydroélectriques. Les lamproies sont bloquées à une quinzaine de kilomètres de la mer par le premier barrage infranchissable de la Roche qui boit. La méthode utilisée pour échantillonner les lamproies est celle mise au point par Lasne et al. (2010) permettant de prélever plus efficacement les individus de très petite taille que par pêche électrique. La méthode s’appuie sur l’utilisation d’un outil dérivé du filet de Surber, permettant de prélever les ammocètes de façon standardisée. Cette enceinte permet de réaliser des prélèvements ponctuels, à la manière des EPA. La réalisation d’un point de prélèvement se déroule en plusieurs étapes. Après avoir localisé un microhabitat favorable, une caisse est enfouie dans le substrat jusqu’à une profondeur d’environ 15 cm. L’opérateur prélève alors le substrat et le dépose dans le filet. La colonne d’eau dans la caisse est filtrée et les sédiments dans le filet déposés sur un tamis afin de récupérer toutes les ammocètes. Ces dernières sont mesurées et des prélèvements génétiques sont effectués lorsque leur taille le permet. Un total de 30 prélèvements maximum est effectué par station.

  • Le cours amont de la Sélune n'est pas accessible aux poissons migrateurs du fait des deux barrages hydroélectriques. Les lamproies sont bloquées à une quinzaine de kilomètres de la mer par le premier barrage infranchissable de la Roche qui boit. La méthode utilisée pour échantillonner les lamproies est celle mise au point par Lasne et al. (2010) permettant de prélever plus efficacement les individus de très petite taille que par pêche électrique. La méthode s’appuie sur l’utilisation d’un outil dérivé du filet de Surber, permettant de prélever les ammocètes de façon standardisée. Cette enceinte permet de réaliser des prélèvements ponctuels, à la manière des EPA. La réalisation d’un point de prélèvement se déroule en plusieurs étapes. Après avoir localisé un microhabitat favorable, une caisse est enfouie dans le substrat jusqu’à une profondeur d’environ 15 cm. L’opérateur prélève alors le substrat et le dépose dans le filet. La colonne d’eau dans la caisse est filtrée et les sédiments dans le filet déposés sur un tamis afin de récupérer toutes les ammocètes. Ces dernières sont mesurées et des prélèvements génétiques sont effectués lorsque leur taille le permet. Un total de 30 prélèvements maximum est effectué par station. Ce tableau contient les données individuelles sur les lamproies capturées

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    Dans le cadre du projet européen Watbio, l'expérience vise à étudier la réponse au défict hydrique de deux génotypes de P. tremula (cv 1328 et 1398). Les plants, cultivés en pot de 10 l, sont soumis à un déficit hydrique contrôlé via les robots d'irrigation et de phénotypage de l'UMR EEF (INRA Nancy). Des pesées pluri-journalières permettent de déterminer la cinétique de transpiration en réponse au dessèchement et à l'échelle de la journée. La croissance et les échanges gazeux sont enregistrés. Les plants sont récoltés régulièrement pour des analyses transcriptomiques (RNA-Seq) et métabolomiques dans différents tissus.

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    La flore de 221 placettes réparties sur un réseau systématique dans le massif forestier d'Amance (Meurthe-et-Moselle, France) a été rééchantilonnée en 2017 après un premier inventaire floristique sur 477 placettes, réalisé en 1971 et 1972 par J. Timbal puis un second réalisé en 1990 par A. Thimonier.

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    La flore de 221 placettes réparties sur un réseau systématique dans le massif forestier d'Amance (Meurthe-et-Moselle, France) a été partiellement rééchantilonnée en 2017 (79 placette) après un premier inventaire floristique sur 477 placettes, réalisé en 1971 et 1972 par J. Timbal puis un second réalisé en 1990 par A. Thimonier. La présente étude reprend en 2022 le réechantillonnage interrompu en 2017 du fait de la prolifération de chenilles processionnaires du chêne. Une partie des placettes de 2017 a été revisitée et le reste des 221 placettes de A. Thimonier visitées.

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    Bilan de santé du sapin pectiné dans le massif jurassien, effectué sur 208 placettes de 6 sapins réparties régulièrement sur le massif jurassien, avec relevé de végétation, données stationnelles (topographie, description de sols), données dendrométriques (hauteur, circonférence, concurrence en cime des arbres carottés), données sanitaires (transparence et jaunissement des houppiers, présence de gui et de gourmands)... Il a montré leffet prépondérant des sécheresses sur la santé des sapins jurassiens et une augmentation de leur croissance radiale à long terme considérable à relier à la modification de l'atmosphère et du climat à l'échelle de l'hémisphère nord, et à ses impacts sur les écosystèmes forestiers

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    L'étude dendroécologique de hêtres fertilisés avec N, P, Ca, NPKCa, par Le Tacon et Oswald, dans un perchis de hêtres de l'ouest de la France, a montré : i. Un effet rapide et durable de la fertilisation NPKCa, significative 3 ans après l'apport. ii. L'augmentation de la croissance radiale apparaît associée à la restauration d'un équilibre nutritionnel correct, notamment à l'équilibre N/P, N/Ca et la teneur en Ca foliaire. iii. Le gain de productivité a probablement été réduit par les sécheresses de 1976 et de 1989 à 1991, iv. mais lors de ces périodes, comparativement au témoin, les traitements N et P ont eu un effet dépressif sur la croissance, et le traitement Ca a été positif. v. Contrairement au bois de printemps, dont la réaction est similaire à celle observée pour le cerne complet, le bois d'été réagit très peu à la fertilisation, ce qui suggère une modification de la qualité du bois à plus ou moins long terme. vi. La fertilisation accélère la différenciation sociale en profitant davantage aux arbres dominants.

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    Etude de dépérissement de chênes dans le cadre de l’ANR Dryade.

  • Le rétablissement du continuum fluvial de la Sélune après l’arasement des barrages permettra la colonisation de l’amont du bassin anciennement inaccessible aux anguilles. Avant l'arasement, deux affluents principaux étaient utilisés par les poissons amphihalins pour leur reproduction, en plus du cours principal : le Beuvron et l'Oir. La population d’anguille de la Sélune a été suivie en phase pré-arasement par des campagnes d’indice d’abondance effectuées en 2013, 2015, 2019 sur un réseau de stations couvrant l’ensemble du réseau hydrographique de la Sélune. Ces données permettent d’estimer l’évolution de l’abondance des anguilles le long de la Sélune et de ses affluents et leur structuration en taille avant et après la destruction des barrages. L’inventaire est réalisé début septembre, une année sur deux, à l'aide d'un dispositif de pêche électrique et d'épuisettes. Trente points de pêche de trente secondes minimum sont réalisés. Une station de pêche comprend environ 100 mètres de linéaire de cours d’eau. Toutes les anguilles pêchées sont anesthésiées et font l’objet de mesures biométriques (poids, longueur, diamètre oculaire horizontal, vertical, détermination du stade jaune ou argentée). L’ensemble des anguilles est relâché directement sur le site de pêche. Cette couche synthétise les nombres d'individus péchés sur chaque site.